Récit érotique
L’enseignement mène à tout (Chapitre 1)
parMots-clés : Libertinage
Myriam Brunot, « Myriam donne des leçons très particulières », L’enseignement mène à tout (Chapitre 1), Récit érotique, Paris, avril 2011.
Trois fois par semaine, je montais au 4e étage d’un de ces beaux immeubles parisiens en pierre de taille que l’on ne peut pas voir sans penser au Dernier Tango à Paris. Tout y est, tapis rouge-bordeaux sur l’escalier, vitraux « art nouveau » et ascenseur tellement vieux et branlant que l’on préfère monter à pied.
Raphaël a 12 ans. Je lui donnais des cours de mathématiques et de physique pour assurer (?) son entrée à Polytechnique. (Les parents s’y prennent tôt). Le gamin n’était pas trop mauvais en maths, mais timide. C’est comme cela que je les préfère. Malheureusement, sa mère rôdait constamment autour de nous, comme si elle voulait surveiller les progrès du « fruit de ses entrailles ».
Dès la première séance, je me suis assise tout près de Raphaël, pour surveiller ses équations, mais aussi et surtout, pour lui faire sentir la chaleur et le moelleux de mes seins, collés à son oreille ou appuyés carrément dans son dos. De façon tout à fait maternelle, je posais mon bras sur son épaule, et je récompensais d’un chaste baiser sur le front ses bonnes réponses. Tout cela bien sûr en surveillant les allées et venues de sa mère que le parquet grinçant me permettait de localiser sans peine. Ainsi, je pouvais m’écarter en cas d’approche dangereuse.
Plus je m’approchais de Raphaël, plus il était nerveux. Il bafouillait et se trompait dans les calculs les plus simples. À l’approche de sa mère j’adoptais un ton autoritaire, et lorsqu’elle était à bonne distance, je lui murmurais à l’oreille des encouragements.
Dès la troisième leçon, j’agaçais son oreille avec mon téton gauche qui pointait tout raide à travers le fin tissu de mon chemisier. Me serrant contre lui, tout en multipliant les explications, j’écoutais son souffle qui s’accélérait. Ses joues étaient en feu, et je me permettais d’élever la voix pour le houspiller pour sa nonchalance, tout cela bien sûr à l’intention de sa mère qui rôdait.
Au tout début de la quatrième leçon, sa mère a reçu un appel téléphonique qui l’appelait à l’extérieur de manière urgente. Enfin seuls ! J’en ai profité pour m’asseoir sur la table de la salle à manger, au milieu des cahiers, la jupe suffisamment ouverte pour lui offrir une vue plongeante sur mes cuisses nues et sur ma culotte. Je ris encore de ses yeux exorbités, de son regard fasciné que j’évitais de croiser pour lui laisser le loisir de compter les poils noirs qui dépassaient de l’entrejambe de mon slip. (Au moyen d’un miroir, j’ai pu apprécier ensuite ce qu’il avait longuement contemplé.)
La leçon a continué plutôt mal, j’ai fait semblant de m’énerver, et il n’a pas eu ce jour là la douce caresse de mes seins sur sa joue. Je regardais ostensiblement ailleurs pour lui laisser régaler ses yeux de mon intimité, je m’attendais à ce qu’il cherche à me tripoter, mais non, rien. Il m’a fallu prendre l’initiative.
La mère est revenue, affolée. Une grave maladie dans sa famille nous a conduit à modifier l’horaire des leçons.
La fois suivante, Raphaël était en short, il revenait d’une séance de gym et sa mère était sortie. Deux boutons de mon chemisier, de toutes façons trop étroit, se sont trouvés défaits « par hasard ». À quelques centimètres de ses yeux j’agitais mes seins, il soufflait comme un phoque.
J’ai posé une main sur sa cuisse nue et moite. Ses joues aussi étaient moites de l’émotion que ma chaleur sensuelle lui communiquait. J’ai monté cette main « maternelle », jusqu’à son bas-ventre, empaumant avec autorité le renflement de son short.
Tu es bien énervé. Je vais te calmer.
J’ai sorti sa petite queue toute raide par l’entrejambe du short, ainsi que ses couillettes dépourvues du moindre poil. Quelques instants plus tard, il jouissait dans ma main, honteux d’y avoir laissé gicler son sperme, que je lui montrais en riant dans la lumière.
Ô, le grand sale !
Car il faut bien renforcer la culpabilité qui préside aux premiers rapports, le plaisir n’en sera pour lui que renforcé. J’ai eu l’idée un instant de lui faire lécher ma main, mais je me suis ravisée, et c’est moi qui ai léché son sperme, amusée de son air effaré et dégoûté.
C’est mieux pour toi maintenant. Fais-moi cette équation.
Nous avons repris les mathématiques, je l’ai rajusté, j’ai rentré autant que je pouvais mes seins trop insolents. Sa mère allait revenir, et il avait encore les joues toutes rouges.
Je me suis écartée de lui pour lui permettre de retrouver son calme. La chaleur de cette fin d’après-midi pouvait expliquer sa transpiration. De toutes manières, sa mère avait de gros soucis, les choses ne s’arrangeaient pas pour la malade, et il fut convenu que la leçon suivante aurait lieu chez moi. C’était l’occasion rêvée que j’attendais avec impatience.
L’après-midi avait été très chaude. Je l’ai reçu vêtue d’un short, bien court et serré, qui découvrait un bon tiers de mes fesses, et d’un tee-shirt décolleté et bien rétréci au lavage. Je n’avais pas fait dans la nuance, j’étais comme une pin-up de l’ami Aslan (un peu oublié maintenant, ses dessins ont dû émouvoir mon père quand il était puceau, je sais qu’il en conserve des albums) et le « Bonjour madame » étranglé m’a confirmé que le message vestimentaire était passé.
Je l’ai installé sur un canapé, avec ses cahiers sur une table basse. Je me suis collée à sa droite, appliquant ma cuisse nue contre la sienne. (Lui aussi était en short). Lorsque je me penchais vers ses cahiers, mes seins débordaient et s’offraient à son regard médusé. Il suivait les gouttes de sueur qui perlaient dans mon entre-seins. Il en était tout électrisé.
Eh bien, t’es tout ému. Dis-moi, t’as des copines. Comment tu les caresses ?
Silence. La conversation n’allait mener à rien. En trois minutes je l’avais mis tout nu. Sachant qu’il pouvait jouir très vite, je manipulais son petit membre tout raide avec précaution.
Vas-y, déshabille-moi.
J’ai dû l’aider, car mon tee-shirt et mon short étaient serrés. Ses caresses étaient naïves, presque brutales, d’une maladresse émouvante, et ses baisers désordonnés. Mes seins l’affolaient tellement que je devais surveiller qu’il ne me morde pas. Il pétrissait les plis charnus de mes hanches, il malaxait mes cuisses, il approchait ses mains de mon ventre, mais n’osait pas me retirer mon slip.
Je l’ai fait pour lui, je lui ai montré ma touffe de poils noirs, que j’écartais pour dégager la fente brun-rose et ses pétales tout brillants de liqueur. L’instinct y guida ses doigts et lui indiqua comment me branler. Quelques minutes après il était en moi, mais à peine entré, il avait joui.
À son âge, le deuxième coup vient très vite, et un quart d’heure après nous remettions cela plus posément.
Tu sais garder un secret ? Tu ne raconteras rien à personne, ni à tes copains. Avec moi, tu vas aimer les maths, et tu seras le premier.
J’avais encore des choses à lui apprendre. En maths, mais pas seulement.
Encore une leçon chez moi.
Viens, on va d’abord s’amuser. Ensuite, on regardera ta Physique (ton physique ? j’étais obsédée !)
Je lui ai offert un coca pour le mettre à l’aise. Je lui ai demandé s’il avait fait de beaux rêves à la suite de la leçon précédente. Il m’a dit qu’il n’avait pas bien dormi.
La première fois c’est normal, c’était un grand jour.
Vous êtes belle.
Pas bavard, mais l’intention était bonne.
Et toi, t’es un beau gars sportif. Si tu t’y prends bien pour les caresser, les filles seront folles de toi.
Et j’ai glissé sa main dans l’ouverture de mon chemisier, pour lui montrer comment j’aime qu’on me caresse les seins. J’ai guidé ses doigts sur mes tétons, je lui ai montré comment il pouvait les pincer pour m’exciter sans me faire mal. Je lui ai montré comment il pouvait jouer avec mes seins. Qu’il fallait les prendre comme des chatons et non les serrer comme des éponges ou les pétrir comme de la pâte à pain. Puis il a calmement suçoté mes tétons pendant que je lui caressais les cheveux.
Nous nous sommes déshabillés mutuellement sans précipitation, j’ai englouti sa verge bien bandée, et quelques instants après il jouissait dans ma bouche. Je l’ai gardée en bouche pour bien la nettoyer et elle s’est mise tout de suite à rebander.
À toi de me le faire.
Je lui ai plongé de force le nez dans ma chatte.
Lèche, c’est bon pour nous deux.
Sauf que j’ai été trop vite, il a vomi sur le tapis.
Malgré cet incident, cette leçon a été pour lui profitable en matière de physiologie. Et pour moi l’une des plus excitantes. Car avec un mec, c’est toujours pareil, pipe, minette quand il veut bien, baise et, ou bien dodo ou bien partir au boulot si c’est un matin en vitesse, juste avant le petit déj’. Avec les gamins, c’est l’imprévu, et le plus sublime, c’est leur maladresse, et aussi leur angoisse de voir une femme s’offrir à eux, ce dont ils ont rêvé en se branlant devant des vidéos. Quand ils décollent, on ne les arrête plus, ils sont capables de gicler 5 ou 6 fois en une heure. Et ils deviennent vite audacieux en matière de caresses.
La leçon suivante s’est déroulée à peu près de la même façon, il faisait des progrès. Celle qui a suivi a été le vrai tournant de mon aventure.
Voir en ligne : Myriam reçoit un élève inattendu (Chapitre 2)
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