(à suivre)...

[acmao]

Elle éructe. Les sons les plus rauques sortent de sa gorge sans qu'elle y puisse rien, écartelée qu'elle est par le membre qui se maintient en elle, prêt à se mettre en mouvement. Elle voit à peine l'homme qui agite son sexe sous ses yeux, n'a pas même conscience qu'un autre s'est approché et se branle maniaquement en cherchant à se frayer un chemin à proximité de celle qui subit le dernier des outrages devant une assemblée émerveillée. Puis le membre qui occupe son cul se met en mouvement, lui arrachant une nouvelle série de râles à peine humains. Elle pleure. Le membre effectue de sauvages va-et-vient en elle. Rien ne peut l'arrêter, ni les pleurs ni les cris ni le corps de la jeune femme qui s'affaisse, ne pouvant tenir la position cambrée où on l'a prise. Autour d'elle, des murmures admiratifs se font entendre. Quelques couples s'enlacent, des hommes se branlent. Indifférent à cette agitation puérile mais satisfait du sort qu'on a réservé à la jeune femme qu'il aime tant, Edmond se détourne de l'action et va au bar se servir un grand verre de whisky.

[acmao]

Les invités sont pour la plupart rassemblés en cercle autour de la jeune femme sodomisée. Quelques hommes se branlent, d'autres ont entrepris de caresser leur voisin ou leur voisine en regardant le spectacle. Tous ces attouchements restent très sages, comme si les seuls débordements autorisés devaient concerner un unique corps, destiné à toutes les humiliations. Plusieurs giclées de sperme ont déjà atteint son visage. L'homme posté derrière elle termine de l'enculer, au vu des secousses qu'il lui inflige, plus espacées mais qui visent à enfoncer le membre au plus profond de la jeune femme. Il pousse un épais râle en éjaculant à son tour.

Elle reste à terre, se retrouve bientôt étendue sur le dos, cernée d'hommes qui tournent autour d'elle, la queue à la main, en la regardant. Elle reste jambes grandes ouvertes, à attendre qu'on la prenne de nouveau. Mais les hommes ne font que se branler. Quand l'un se sent partir, il s'approche d'elle et déverse son foutre sur le visage déjà souillé. Une toute jeune femme (une étudiante, sans doute ?) s'approche à son tour. Elle est habillée sobrement, d'une jupe claire et d'un chemisier sombre. Comme un médecin, elle s'agenouille devant le corps étendu et agité de brefs spasmes, qu'elle 'étudie sérieusement.

[acmao]

L'étudiante se met à lécher tout le corps, qu'elle appréhende par le nombril, de la femme épuisée qui gît devant elle et qui sent, au fond de son anus, la liqueur tiède du foutre de l'homme qui l'a foutue, comme un barbare seul peut le faire. Elle sent à peine la langue qui sillonne son ventre, descendant parfois au niveau de l'entrejambe. Elle sent juste la présence chaude de cette tête qui survole son corps, tandis que des gens se remettent à parler du chien qui se promène toujours.

[acmao]

La tête s'enfonce entre ses jambes et embrasse son con. Elle sent la langue qui s'enfonce en elle et resserre ses jambes autour de l'étudiante comme pour la maintenir dans cette position, collée à elle. Dans le brouhahas des conservations, ses gémissements sont à peine audibles. Quelques invités prêtent encore attention à elle mais la plupart semble s'être détournée de cette attraction. Oubliant tout ce qui l'entoure, elle se laisse aller à jouir dans la bouche de l'étudiante, qui happe le foutre avec avidité. Les quelques hommes qui se sont plantés devant le spectacle s'apprêtent, de toute évidence, à intervenir. L'un masse son entrejambe à travers le tissu du pantalon, un autre a déjà son sexe en main. Le troisième seul semble se complaire à cette posture de pur spectateur.

[acmao]

Mais l'étudiante s'interrompt. Elle lève la tête, comme paniquée. Les lèvres scintillantes à cause du foutre dont elles sont imprégnées, elle s'exclame :
- Elle a la chatte brûlante ! Brûlante !
Les hommes qui se branlaient regardent la fille bizarrement. Tout à coup, ils se rendent compte qu'elle aussi, on devrait la baiser sur-le-champ, au lieu de la laisser se complaire sur le corps de celle qu'on a destinée à satisfaire les plaisirs de tout un chacun. Les trois hommes se resserrent autour du couple féminin, comme une chorégraphie aussi obscène que mécanique. Ils se branlent au même rythme et s'approchent au même rythme.

[acmao]

Une des trois bites se retrouve vite tout près du visage de l'étudiante, toujours agenouillée entre les deux jambes qu'elle caresse machinalement, remontant ses mains le long des cuisses jusqu'à effleurer ce sexe qui l'a paniquée, tant il lui paraissait brûlant. Le sexe qui s'approche agressivement d'elle ne se soucie pas vraiment de ses émois. Elle ouvre grand la bouche pour le recevoir. L'homme continue de se branler.