par Porneros » Jeu 10 Juil 2008 01:15
Je reprend cette citation d'Ingrid : « […] Je vois l'enclave du sexe entre les lèvres écartées et que tout le corps se fige autour de lui dans une brûlure qui augmente. […] » (P12) et je continue par : « […] Le répit de la brûlure fait se distendre la bouche mordue à la robe. Il est là. Les yeux toujours fermés, elle lâche la robe, ramène ses bras le long de son corps dans la coulée de ses hanches, modifie l'écartement de ses jambes, les oblique vers lui afin qu'il voie d'elle encore davantage, qu'il voie son sexe écartelé dans sa plus grande possibilité d'être vu, qu'il voie autre chose, aussi, en même temps, autre chose d'elle, qui ressorte d'elle comme une bouche vomissante, viscérale. […] » (P15) puis : « […] Alors, à son tour, il le fait. C'est d'abord sur la bouche qu'il le fait. Le jet s'écrase sur les lèvres, sur les dents offertes, il éclabousse les yeux, les cheveux et puis il descend le long du corps, inonde les seins, déjà lent à venir. Lorsqu'il atteint le sexe il a un regain de force, il s'écrase dans sa chaleur, se mélange à son foutre, écume, et puis il se tarit.» (P16)
« […] Elle est arrivée près de lui, s'accroupit entre ses jambes et la regarde elle, et seulement elle, dans l'ombre qu'à son tour elle lui fait avec son corps. Avec soin elle la met à nu dans sa totalité. Ecarte le vêtement. En sort les parties profondes. S'éloigne légèrement d'elle, la met dans la lumière. […] » (P24) puis : « […] Elle se serait avancée lentement, elle aurait ouvert ses lèvres et, d'un seul coup, elle aurait pris dans son entier son extrémité douce et lisse. Elle aurait fermé les lèvres sur l'ourlet qui en marque la naissance. Sa bouche en aurait été pleine.» (P26)